Un petit nouveau dans les sites consacrés à l’énergie, EnergyMed est un site d’informations dont la directrice de publication, Pascale Amenc-Antoni, après quelques détours au CEA, à ITER et au pôle Capénergies, revient à son premier métier : journaliste spécialisée dans les énergies.
EnergyMed s’ouvre sur l’espace méditerranéen dans la grande acceptation du terme puisqu’il englobe toute la zone Europe ainsi que les pays du Proche et du Moyen-Orient. Leur importance est cruciale dans les échanges tant économiques qu’énergétiques présents et futurs et à ce titre mérite un intérêt particulier.
Les projets de ce site, accessible sur abonnement, vont en intéresser plus d’un :
Chaque semaine, a minima, et chaque fois que l’actualité le nécessitera, vous pourrez trouver sur www.energymed.eu des informations sur les politiques et leurs évolutions, les projets, les appels à projet et à partenariat, les innovations, les contrats, les réalisations, les expériences réussies ou celles qui le seraient moins, mais aussi des analyses, études, interviews…
Publié actuellement en français, il devrait comporter dans un avenir proche un volet en anglais. Bon vent à EnergyMed !
Une réponse sur “Bienvenue à EnergyMed”
Les pertes représentent seulement 6% de la consommation, dont 3% sur le réseau de transport et 3% sur le réseau de distribution, bien que la distance franchie sur le réseau de distribution soit beaucoup plus faible. Globalement à moins d’auto-consommer, on ne peut pas éviter les 3% de perte de distribution.
Il est donc facile aux économies d’échelle dans une production centralisée de compenser cette perte, et de rendre l’unité de 10 MW plus efficace que les 10 de 1 MW.
D’autant que les consommation varient constamment mais ne sont presque jamais simultanément au plus haut. A moins de très fortement surdimensionner les moyens de production locaux, il est donc utile de pouvoir facilement rediriger constamment la production vers la zone qui consomme le plus à un moment donné, et malheureusement de loin le moyen le plus efficace de faire cela est d’avoir des moyens de production de très forte capacité qui injectent directement sur le réseau 400 kV.