Airwheel vient d’apporter une solution supplémentaire au problème épineux du déplacement d’une seule personne sur le dernier kilomètre : le monocycle électrique. Nous disposons actuellement du vélo, un peu trop encombrant, hélas (surtout s’il est à assistance électrique) quand on souhaite emprunter ensuite les transports en commun, de la trottinette, un peu moins encombrante certes, mais pas idéale non plus à transporter, des rollers, mais cela demande un certain entraînement sportif et un équipement tout aussi encombrant… et des pieds. Nous avons maintenant cette roue gyroscopique électrique, sorte de scooter à une roue… et sans les mains !
Destiné aux trajets courts en milieu urbain, l’engin se compose de deux roues jumelées avec des pédales élargies (comme sur le scooter justement) de part et d’autre, sur lesquelles on se tient debout et que l’on pilote sans les mains. Il peut ainsi supporter une charge de 120 kilos. Alimenté par une batterie Li-ion, il peut atteindre la vitesse de pointe de 18 km/h et possède une autonomie de 63 km, ce qui est la plupart du temps suffisant pour les petits déplacements citadins auxquels l’appareil est destiné. Il peut aussi rouler sur toutes les surfaces, même inclinées.
Une fois arrivé à l’arrêt de bus ou de métro, ou directement sur le lieu de travail, il suffit de replier les pédales et ce moyen de transport se transporte aisément, à la main éventuellement (il est muni d’une poignée à cet effet) ou bien il se glisse dans un sac. La roue gyroscopique se recharge avec un simple chargeur, sur une prise secteur, en une heure et demie environ.
Airwheel présente le démarrage avec ce système comme « pas si compliqué que ça en a l’air » et estime qu’il convient à tout âge. Au début, il est néanmoins conseillé de s’aider d’un mur ou d’une main charitable pour s’y hisser, mais, si on se considère comme particulièrement maladroit, installer des petites roulettes (comme sur les vélos d’enfant). Mais après quelques heures d’entraînement, « le démarrage deviendra naturel« , assure Airwheel. La roue gyroscopique électrique mettra cependant certainement quelque temps avant de se développer dans nos villes, mais elle a l’avantage d’éviter à son propriétaire de se soucier des embouteillages ou d’une place de parking à trouver.
Propre et économique puisque 100 % électrique, selon Airwheel, transportable facilement (il pèse environ 10 kg), ce moyen de transport original coûte entre 450 et 800 euros environ.
Source : Airwheel
2 réponses sur “Un monocycle électrique pour la ville”
Et plus d’inquiétude de savoir si son vélo, attaché à un poteau, sera encore présent et/ou entier le lendemain matin…
Le monocycle électrique est bien en sécurité à l’intérieur de la maison.
Il ne ressortira que le lendemain pour un parcours plaisir jusqu’au boulot
Bonjour ,
Je travaille depuis quelques moi sur le projet de mobilité électrique par nottament les monocycle et je ne suis absolument pas d’accord avec les informations que vous avancez, je parle des « 63km d’autonomie » et « 1h30 » pour une recharge, vous induisez les acheteurs potentiels en erreur ce qui ne rend pas service a airwheel en discréditant les revendeurs de ce type d’engins .
Pour rectifier, un monocycle électrique type airwheel, solowheel, ips et bien d’autres marques a différentes puissances, ils ne se valent pas tous, le bon produit pour un adulte d’environ 80kg dois avoir une puissance d’au moins 500W et une batterie de 350Wh, le temps de charge est d’environ 6h, la vitesse d’environ 15km/h et une autonomie d’environ 18km. Le poids se rapproche plus des 14kg que 10kg.
Sans vouloir casser votre article bien évidemment , respectueusement .